Jeu de la saint Viviane

 Notre envoyé spécial Claude P a l'objectif coquin ce matin !

Il a pris cette photo à votre intention, mais je voudrais savoir:

1 - Où cette photo a été prise ?

2 - Le nom de la personne dont on voit le dos !

Bonne chance à tous !

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Jean Gabin à Mériel

 Si vous arrivez à Mériel par le train, vous ne verrez pas de publicité sur les quais, mais des portraits, notamment celui de Gabin dans "La bête humaine".

Dominant la gare, au numéro 61 de la Grande rue, la maison Moncorgé-Gabin:

La mairie-école - où le petit Jean Moncorgé usait son sarrau - s'est poussé du col; c'est désormais un hôtel de ville !

La famille devant une autre maison qui semble être celle du 52 Grande rue:

Est-ce au bord de l'Oise qu'il envisagea d'être marin ?

En haut de la rue Montebello, cette croix nous rappelle le coup de foudre du marquis éponyme.

Le musée Jean Gabin, récemment agrandi:

Lisez Prévert on vous dit !

Un beau banc à lire !

Le hall du musée et de la médiathèque:

La caisse du Louxor Palace (qu'est-ce qu'elle fait là ?)

Cette vraie descente de cave portant le numéro 45 ne vous rappelle rien ???

Mais si, voyons, Jambier ! JAMBIER !

Cette reproduction de la cave de monsieur Jambier (Louis de Funès) est sonorisée !

La veste de Jean Gabin dans La Traversée de Paris:

Une petite exposition temporaire consacrée au duo Gabin - de Funès :

Le deuxième niveau est une espèce de mémorial à Jean Gabin avec des pièces authentiques.

Cet accordéon avait été offert à JG par Pierre Mac Orlan:

Son bureau à La Pichonnière, sa ferme en Normandie:

Sa chambre d'enfant:

Il y a même une salle de cinéma !

Des récompenses et des trophées

Voilà, c'est avec ce portrait de Jean Gabin dans Le Jardinier d'Argenteuil que notre visite se termine.

Et n'oubliez pas que ces petits musées ne vivent que si on les visite !

1 - 3 place Jean Gabin, Mériel (Val d'Oise).

Entrée: 7,00 €

Un grand merci à Marc pour cette visite !

Théâtre Récamier - Deuxième période

Avant de lire le présent article, il est indispensable que vous lisiez d'abord celui-ci paru il y a dix ans.  

Il y a dix ans, on ne donnait pas cher de la peau de ce beau théâtre. Pensez donc, il n'était plus aux normes !

Et bien aujourd'hui, il est sauvé… Youpi !

Et c'est notre ami Marc qui a eu la possibilité d'y glisser son objectif; nous le suivons.

Il est comme neuf on vous dit !

Ce n'est pas tous les jours qu'on a de bonnes nouvelles !

Merci Marc.

3 rue Récamier, Paris VII°.

Cour de l'étoile d'or

 Un grand porche anonyme, peu engageant… Pas souvent ouvert, mais avec un peu de chance et beaucoup de patience…  

Cette cour tout en longueur tire son nom d'une ancienne enseigne.

Au fond de la première cour, on se heurte à une ancienne "maison de campagne" du XVII° siècle.

On y voit un cadran solaire qui a connu des jours meilleurs...

Un escalier intérieur que nous ne verrons pas est classé MH.

Un peu plus loin, cette maison à frise:

Le fond de la deuxième cour présente moins d'intérêt

Au revoir … 

75 rue du faubourg Saint-Antoine, Paris XI°.